Je vous avais déjà livré ►mon avis sur Dorico◄ dans une longue critique écrite, quelques jours seulement après la sortie du logiciel de notation musicale de Steinberg, en octobre 2016.
Plus de quatre ans après la sortie de Dorico, et de très nombreux projets plus tard, il est maintenant temps de faire le point :
Ai-je eu raison de me lancer sérieusement dans l’aventure ? Aujourd’hui, fort de mes quatre années d’expérience professionnelle quotidienne avec Dorico, qu’est-ce que j’aime particulièrement dans ce logiciel ? Qu’est-ce que j’aime moins (“Qui aime bien châtie bien !”) ? Et vous, devez-vous passer à Dorico ?
Je vous dis tout (et même davantage !) dans cette très longue vidéo, qui me permet de clarifier pas mal de points, de remettre de l’ordre dans ma critique originelle, qui commençait à partir un peu dans tous les sens, et puis surtout, eh ! j’ai l’image, ce qui est tout de même plus commode pour vous montrer de quoi je parle, non ?
Partez avec moi dans ce grand tour d’horizon de Dorico ; j’espère que vous en ressortirez avec, non pas des réponses, mais des éléments de réponses, pour appuyer votre propre réflexion.
Et c’est partiii !
[Mise à jour du 7 février 2021 : Pour ceux qui préfèrent de plus petites unités de vidéos plutôt qu’une seule longue vidéo chapitrée, afin de rendre ma vidéo plus digeste, je la propose aussi maintenant sous forme de série en 9 épisodes.]
P.S. : J’en ai profité pour considérablement réviser et mettre à jour ma ►critique écrite de Dorico◄, qui fait maintenant 18 000+ mots !
